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Sarmiza Turcu, coach de vie et praticienne en soins énergétiques Reiki et Shiatsu. Je vous accompagne dans la douceur et l’énergie du coeur pour éveiller votre conscience, trouver votre propre équilibre et (trans)former votre vie.

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La culpabilité, une preuve d’amour ?

Les trésors cachés de la culpabilité

Si vous vous laissez souvent submergés par cette émotion dite “négative” car désagreable à vivre, alors cet article vous permettra de poser une nouvelle lumière dessus. Vous allez regarder la culpabilité sous un nouvel angle que j’espère allègera ses poids.

La culpabilité, est une émotion que nous ressentons dès notre plus jeune âge, et c’est ok. C’est ni bon ni mauvais. C’est humain. Elle nous permet de nous connecter aux autres, de prouver de l’empathie et de nous sentir plus solidaires avec les autres.

Si nous ressentons la culpabilité ou toute autre émotion désagreable (peur, colère, rancune) c’est que notre inconscient pense que c’est bon pour nous. C’est peut-être un mécanisme de défense, de se sentir en securité ou de survie que notre être a mis en place pour nous.

Ou il s’agit peut-être d’un comportement inconscient que nous avons imité ou adopté car nous l’avons vu chez nos parents ou chez les personnes qui ont eu un rôle important dans notre éducation. Et ces personnes representaient nos modèles de vivre en société, de se comporter. Es-ce toujours le cas aujourd’hui ?

Notre inconscient travaille toujours pour nous

Il est important de comprendre que notre inconscient ne fera jamais des choses contre nous, pour nous nuir. Au contraire, il est notre soutien ou notre support pour vivre de la meilleure façon possible notre vie.  Notre inconscient est aux commandes 90% du temps et toujours pour notre plus grand bien-être.

Alors, comment ça se fait que si notre inconscient travaille pour nous et pas contre nous, nous vivons des émotions ou situations difficiles ou qui nous mettent en souffrance ?

Si les émotions ou les comportements que nous avons sont “négatifs”, c’est à dire qu’il nous aident pas à avancer, ou ne nous procurent pas du bien-être, alors il y a un mechanisme inconscient et automatique qui dit : ça, c’est bon pour moi.

Dans ce cas, la bonne question à se poser est : “en quoi la culpabilité est bonne pour moi” ? Qu’est ce que cette émotion m’apporte de positif alors ?

Se sentir coulpable nous permet de nous sentir plus connectés avec les autres et plus solidaires avec les autres.

Si quelqu’un est triste alors que moi je suis heureux et que tout va bien pour moi, je peux ressentir la culpabilité. Et quand cela se passe, mon attention et posé sur l’autre, sur ce qu’il vit et j’oublie que je suis pour rien dans sa situation.

Nous oublions qu’être en joie est notre droit et que rien ni personne ne peut nous l’enlever. Sauf dans ce cas, la culpabilité.

La culpabilité, une preuve d’amour ?

Dans cette situation, nous éprouvons donc plus d’amour et d’empathie pour l’autre que pour nous. C’est notre façon de lui montrer notre amour.

C’est comme ça que la culpabilité devient une preuve d’amour. Une preuve d’amour, mais pas pour soi. Pour l’autre.

Pour lui faire plaisir, pour être au même niveau de joie ou de souffrance que lui. Mais ce que nous oublions, c’est notre propre joie. Nous n’oublions nous même.

Tu te rappelles quand tu étais petit qu’on te culpabilisait si tu ne voulais pas faire la chose que tes parents ou ta maîtresse d’école voulaient que tu fasse(manger c’est qu’ils voulaient que tu manges, dire ce qu’ils voulaient que tu dise, sourire comme ils voulaient que tu le fasse).

Ils faisaient au mieux de ce qu’ils pensaient être bien pour toi et pour ton mieux-être. Au moins, c’etait leur intention. Peut-être qu’eux aussi l’ont vu lorsqu’ils étaient jeunes, et qu’ils l’ont pris comme une “bonne action” à faire.

Ce qu’il n’ont pas prévu était que te faire pratiquer autant la culpabilité tu allais l’automatiser pour toute chose qui te procure à toi du bien, du plaisir et de la joie. Tout cela part d’une bonne intention, biensûr.

Mais tout cela, c’était avant.

Aujourd’hui tu sais comment fonctionne ton inconscient et ses automatismes. Tu comprends d’où vient et pourquoi elle est là, la culpabilité.

Tu sais aujourd’hui que tu n’as plus besoin de faire appel à ce mécanisme pour aimer plus les autres et leur faire plaisir. Que tu as le droit d’être heureux même si les autres ne le sont pas. Et que ta responsabilité d’abord et avant tout est toi.

Car aujourd’hui, si tu te poses cette question tu connais la vraie reponse : est-il vraiment vrai que les autres ne vont pas m’aimer ou m’accepter si je fais la chose qui me fait plaisir et qui resonne avec moi?

Et si aujourd’hui tu décides que tu sais par toi m’aime ce qui te fait du bien ? Et que tu te l’autorises ?

En toute confiance et sans culpabilité. Et s’il y a de la culpabilité, au moins tu sauras que c’est un mécanisme avec une bonne intention à la base. Mais qui ne te sers plus aujourd’hui. Cela te servait avant. Et que quand tu seras prêt, tu pourras t’en délaisser et t’en libérer.

Et si aujourd’hui tu décides de montrer ton amour à ton entourage (et à toi) d’une autre manière que par la culpabilité ? Tu feras comment ?

 

Dans l’amour et la bienveillance,

Sarmiza

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